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La chaîne américaine de cafés Starbucks poursuit son développement en France où il en existe aujourd’hui 250 et 38. 000 points dans le monde. L’entreprise se donne pour objectif de compter 55. 000 cafés à l’horizon 2030. Mais qu’est-ce qui se cache derrière les comptoirs de cette enseigne ? Un ancien employé de Starbucks a prétendu révéler les secrets les mieux gardés de la chaîne. De quoi avoir froid dans le dos !
Un ancien employé de Starbucks délie sa langue
Shabaz Ali assure avoir travaillé plusieurs années pour Starbucks en Angleterre. Dans une vidéo Tiktok, virale, il raconte les astuces des employés pour se venger des clients impolis.
Première technique technique de vengeance : servir du décaféiné au lieu de vrai café.
Puis le jeune homme explique que les fautes d’orthographe dans les prénoms écrits sur les gobelets ne sont pas toujours involontaires. En effet, elles relèvent souvent, au contraire, d’une astuce marketing.
À lireLa démarche à ne surtout pas oublier pour toucher vos aides de la CAF cet été« Je suivais ma formation et le manager m’a dit que je devais mal orthographier délibérément les noms sur les gobelets pour faire de la publicité gratuite », a-t-il assuré lors d’une interview avec Jam Press. « Il fallait en particulier le faire aux influenceurs et aux jeunes qui semblaient du genre à en faire une scène sur les réseaux sociaux. Car ils publieront certainement à ce sujet », a précisé l’ancien employé de Stabucks.
« J’ai été choqué. Car c’était probablement la raison pour laquelle mon nom était mal orthographié dans le passé », se remémore alors le barista.
Des frappuccinos sans café
L’ex employé de Starbucks ne s’est pas arrêté à ces quelques révélations. Il a dévoilé aussi des secrets de fabrication, comme pour le frappucino. En effet, chez Starbucks, il ne contiendrait pas le moindre grain de café. « Ils le remplacent par du sirop aromatisé. Si vous voulez un vrai café, vous devez demander un expresso« , assure-t-il dans sa vidéo aux plus de 553. 000 vues.
De plus, en fonction de l’affluence, les serveurs ont l’accord de la direction de ne pas faire certains mélanges en prétextant un manque de stock. « Les frappuccinos prenaient généralement beaucoup de temps à préparer. Alors, lors d’une journée bien remplie, je disais aux clients que certains sirops étaient en rupture de stock. Ou que la machine à glace était cassée », raconte Shabaz Ali.
À lireDes millions de salariés vont bientôt recevoir une prime : les Français concernésEnfin, le jeune homme explique que Starbucks fonctionne comme la plupart des boulangeries. En effet, à la fin de la journée, les produits qui ne se conservent pas doivent aller à la poubelle. Il est donc possible d’en obtenir gratuitement en le demandant.
Starbucks en donne aussi une partie « à des refuges pour sans-abri. Ou va directement aux sans-abri », précise Shabaz Ali.
En dépit de ces nombreuses révélations, le jeune homme reconnaît avoir aimé son travail chez Starbucks et pense que l’entreprise fait un travail incroyable. Nul ne sait, en revanche, si ces astuces et vengeances s’opèrent en France.
