Toutes ces huiles d’olive en supermarché sont polluées selon 60 Millions de consommateurs

60 Millions de consommateurs a lancé l'alerte à propos de ces huiles d'olive en supermarché qui seraient polluées !

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L’huile d’olive est un produit incontournable de la cuisine française. Adoré pour son goût incroyable, mais aussi pour ses bienfaits, c’est un aliment qui fait l’unanimité auprès de tous. En revanche, certaines huiles d’olive seraient polluées selon 60 Millions de consommateurs.

Un produit très bon pour votre santé

L’huile d’olive est un produit qui présente de nombreux avantages pour la santé. C’est un produit riche en antioxydants, avec des propriétés anti-inflammatoires, qui favorise la santé cardiaque et protège aussi contre le diabète de type 2.

C’est également un aliment qui dispose de propriétés antibactériennes, qui aide à prévenir les AVC et qui améliore la santé digestive. Et qui a des effets bénéfiques sur le poids. En clair, c’est un produit qui est parfait pour la santé.

En revanche, il est indispensable de bien la choisir. Et pour cause, 60 Millions de consommateurs a révélé dans une enquête que toutes les huiles d’olive ne se valaient pas toutes. Certaines sont mauvaises et c’est également le cas de celles qui ont des références bios.

Le magazine a décidé de mettre en garde contre certaines huiles d’olive à des prix accessibles. Pourtant, ces dernières font l’unanimité auprès de nombreux Français. Il faut dire que c’est un produit qui est devenu très coûteux avec la hausse des prix.

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60 Millions de consommateurs a passé au crible 24 huiles d’olive issues de grandes marques comme Carapelli, Puget ou Tramier, ainsi que des marques de distributeurs telles que Lidl, Carrefour ou E. Leclerc. Les résultats sont troublants.

Des substances dangereuses retrouvées dans des huiles d’olive

Aucune des huiles d’olive analysées n’est exempte de traces de plastiques ou d’hydrocarbures. Il y a plusieurs substances trouvées qui se montrent inquiétantes. C’est le cas du Di-isononyl phtalate (DINP). Du Diéthylhexyl phtalate (DEHP), un perturbateur endocrinien classé toxique pour la reproduction.

Et du Dibutyl phtalate (DBP), un perturbateur endocrinien persistant dans l’environnement. Selon les experts, ces polluants peuvent s’infiltrer dans les huiles d’olive à différents stades de la production, notamment lors de la récolte, du transport ou du stockage.

Les plastifiants présents dans les équipements ou les emballages seraient une source majeure de contamination. Si les huiles conventionnelles soulèvent des inquiétudes, la situation des huiles bio reste tout aussi préoccupante.

Certaines marques pourtant réputées pour leur engagement écologique contiennent également des traces de phtalates. C’est le cas de Naturalia « Vierge extra Like a Virgin », La Vie Claire « Vierge extra », Cauvin bio « La bio » mais aussi Terra Delyssa « Vierge extra ».

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En plus des plastifiants, certaines huiles d’olive renferment des huiles minérales, des dérivés du pétrole, selon 60 Millions de consommateurs. Ces substances peuvent contaminer le produit via les moteurs des machines agricoles.

Une chose est sûre, les Français doivent faire très attention à acheter les bonnes huiles d’olive. Et éviter celles qui sont contaminées.


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